Tetsa River lodge – 22 juillet
Un truc étonnant que cette vérification de freins. Les routiers s’arrêtent, descendent de leur camion, en font le tour, les flattent de la main et remontent. On a pas bien compris à quoi cela rimait. Il n’y a aucune machine, personne qui leur demande quelque chose. Ils s’arrêtent, voilà, et se dégourdissent les jambes.
Fort Nelson – 21 juillet 2012
Nous poursuivons notre périple vers le nord :
Vers Dawson Creek – 20 juillet 2012
Un petit repas de midi dans notre camion en raison des moustiques.
Plus tard ce fut le tour d’une maison !
Prince Georges – Mackenzie 19 juillet 2012
La façon de vivre à l’époque est très bien décrite, le grenier (genre raccard valaisan en plus petit, et c’est pour éviter que les ours viennent se servir, pas les souris, bien sûr)
est perché sur 4 piliers recouverts en aluminium. Plus loin une délicieuse glace vanille + des fraises nous sera servie par une délicieuse jeune fille rougissante dans le magasin général. On y entend un gazouilli, des oiseaux ont fait leur nid.
Prince Georges – mercredi 18 juillet 2012
Jasper – 17 juillet 2012
Cherchons d’abord un camp et le Wapiti fera l’affaire, sans service, mais il y a un truc épatant maintenant dans les parcs, tu mets ton chargeur d’appareil dans un casier, tu mets un dollar, tu refermes et gardes la clé. Quand tu reviens ton matos est chargé. Très cool.
Plus loin ce sont deux gros caribous qui nous émerveillent d’autant que ce sont nos premiers, nous n’en avons encore jamais vu de visu. Ils ont été réhabilités dans le parc de Maligne et il n’y en a que cent cinquante. Nous sommes vraiment chanceux.
Maligne lake et son île mythique :
Potatoes skin |
Et en arrivant au camp des wapitis partout. Au moins une trentaine avec des mamans et des bébés. Ca fait un drôle de bruit le wapiti…Kiki en rapport à la taille.
La promenade des glaciers – 15 juillet 2012
La madame de chez Park Canada nous signale la présence d’un ours noir. Il a été vu à 3 m. d’un van. Nous ne devons pas nous éloigner de notre véhicule et certains accès du camping sont fermés.
Voilà comment se présente la « chambre à coucher ». Grand lit, excellent matelas, hyper bien aménagée, nous y dormirons très confortablement. Durant un mois c’est vraiment important.
On a laissé les stores ouverts, mais c’est idiot, il n’y a aucune lumière dehors, alors à moins qu’il se trimbale avec une lampe de poche, on ne le verra pas.
et la mienne la vesce pourpre. A vos dictionnaires pour la mienne !
Bow Vallee – 15.7.12
Fairmont de Lake Louise |
Nous débutons maintenant la Promenade des glaciers. Nos permis d’accès au parc nous ont été réclamés, mais nous sommes en règle.
Mon Loup-bûcheron adoré ! |
Vendredi 13 : Banff
Dormis comme des marmottes, levés vers 8h00. Petit-déj. et préparatifs pour lever le camp. La biche vient encore brouter vers nous une dernière fois. Trop joli.
La viande est découverte ainsi que du saumon. Nous futurs feux de camp s’annoncent délicieux.
Pour permettre aux animaux de traverser la Transcanadienne tout en restant en vie, des passages pour animaux ont été aménagés au-dessus de l’autoroute.
Banff commence à être annoncé, nous quittons le parc de Kootenay, la Colombie Britanique et passons en Alberta avec une heure d’avance, changement de fuseau horaire. Nous arrange pas ça, surtout que l’on ne s’en rendra compte que très tard.
Nous boxons les moustiques. Il y en a plein, le temps est devenu orageux. C’est hyper étonnant, on voit tous les autres gens se promener dehors en chemisette et short et ils ne se font jamais bouffer. Nous devons être du premier choix, je suis constellée de piqûres urticantes au possible. Sommes maintenant enduits d’un truc odorant pour les éloigner, et puissant aussi, il faut s’en mettre dehors sinon on déclenche l’alarme incendie du RV !
Samedi 14 juillet
Banff depuis le Mont Sulphur |
Il y a un monde de fou là-haut en plus des moustiques ! Irons à pied jusqu’au pic Sanson voir l’observatoire. Sanson est le type qui est monté plus de 1000 fois par tous les temps pour pouvoir donner la météo à Banff à une époque où le télécabine n’existait pas. Parfois pris par la tempête il restait en haut et s’était fait un abri. Courageux.